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Message par Goï Ran Mar 2 Mai - 23:47

Goï : - [...] et vous comprendrez pourquoi je dois aller dans ce camp. Avec vos Bronto' on en aura pour deux heures alors traînons pas. 
Vieux Nautolan : - Hum...

Deux Nautolan d'une cinquantaine d'année étaient assit sur le siège d'une charrette remplit de pièces de vaisseaux attelé à deux Brontonos musclés au possible. Ils se regardaient avec étonnement car ils n'arrivaient pas à réaliser qu'un Nautolan était dans cet armure faisant étrangement penser à une I.A rebotisée de combat. Dans le doute l'un d'eux descendit avec une clé et s'approcha doucement de Goï comme un chasseur avant de capturer son gibier. 

Quoi ? Mais qu'est-ce que...? Oh, je vois.

Goï appuya sur un bouton du côté de son casque qui s'ouvrit aussitôt, faisant faire un bond de surprise au vieillard qui trébucha vers l'arrière, les fesses tombant sur le sable chaud du désert. Sur le visage de Goï on pouvait clairement comprendre qu'il en avait plus qu'assez de cette comédie. C'est avec un de ses revolvers pointé sur eux qu'il s'approcha à son tour.

Goï : - Sahaal, Camp, Brontonos, vite.

Durant ces deux heures, Goï a du reprendre l'habitude d'encaisser ce fameux soleil lourd, de ce vent qui envoie le sable dans les yeux, de la sécheresse ambiante faisant gercer les lèvres. Il ne put s'empêcher de regarder les yeux vers le ciel, vers l'espace, vers l'univers. Son regard était remplit de souvenirs, sa position, allongé dans l'arrière de la charrette avait des allures de poète essayant de trouver l'inspiration; les jambes croisées et les bras derrière la tête. Il souriait en coin.

Lyo, Jee, Tana, Taé, Myo, Kina, Ona, Edi, Rey, Zafer, Orgo, Jody, Brim...Valil. Je ne vous oublie pas.

La charrette s'arrêta devant un camp. Les remparts étaient en taules, tellement brûlantes que les toucher serai de commettre une énorme bêtise. Des gardes armés de fusils rouillés tournaient autour de l'entrée qui se présentait sous la forme d'un énorme portail où il y manquait quelques barreaux. Les deux chauffeurs qui conduisaient les Brontonos tendit leurs mains vers notre Nautolan, demandant ainsi silencieusement un pourboire. Goï, gêné, commença à rire de nervosité en se grattant l'arrière des tentacules.

Goï : - Hum, vous acceptez les tcheck ?
Nautolan : - Pardon ?

Goï leurs tape la main d'un geste rapide et sauta de la charrette en prenant son paquetage avec lui et partit en direction de l'entrée du camp. Les Deux vieillards commençaient à hurler avec un patois Nautolan incompréhensible, puis reprirent leurs route. Le Nautolan s'approchait de manière décontracté vers l'entrée, l'air de rien. Les gardes le repéra aussitôt et braqua leurs armes vers lui.

Garde : - Halte ! Qui va là ?!
Goï : - Serieusement Baikuhan c'est ce que tu dis au visiteurs ? Tu t'es cru dans un film ou quoi ?
Baikuhan : - Goï ?! Fumier où étais-tu ?
Goï : - A l'armée de l'OU.
Baikuhan : - Et maintenant ?
Goï : - Je prend ma retraite. D'ailleurs évite de dire que tu m'as croisé, hein. Ouvre ce putain de portail, ma niche me manque.

Le Garde ouvrit le portail à l'aide d'un levier accroché miraculeusement à un poteau où se trouve un mécanisme de poulie à chaîne, complètement rouillé. Baikuhan fit une révérence grotesque et complètement surjoué, un grand sourire jusqu'au tentacules, tandis que les chaînes grinçaient et luttaient de lever le portail une énième fois.

Baikuhan : - Bienvenu chez toi, Goï Ran.
Goï : - Pff.
Goï Ran
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Message par Goï Ran Ven 5 Mai - 19:56

Rien à changé depuis que je suis parti. La première chose qui vous frappe au sens propre (sale plutôt) du terme c'est l'odeur; mélange de bouse de drémaïde à celle de l'urine de brontonos en passant par les sueurs qui émanent des habitants, varié de tout espèce confondu de l'OU, à part des peaux roses comme Jody et Neuf. Les humains doivent pas aimer Glee Anselm vraisemblablement. Sans oublier aussi les odeurs de viandes avariés et de légumes qui pourrit sur des stands que personne fréquente, ajouté à ça les odeurs d'alcools qui sort des fenêtres des bars et des maisons toute faite en taules ou habitacles de vaisseaux récupérés. Ce camp s'appelle Bihn-ethum, qui signifie "ville rongée", inutile d'expliquer pourquoi. N'empêche, ça fais du bien de rentrer à la maison, c'est dingue de voir des endroits que l'on peut s'attacher juste parce que c'est là que se trouve nos repères, nos racines, notre bulle.

Alors que Goï marchait sur la route principale en regardant de chaque côté, comme pour regarder que tout est bien à sa place, une Nautolan anorexique lui plonge dans ses bras et sert l'étreinte du plus fort qu'elle peut. Ses jambes vacillaient, à se dire qu'elle pouvait s'effondrer à tout moment, une odeur d'alcool, de transpiration mélangé à du linge sale dégoûta littéralement notre Nautolan qui lui gardait ses bras le long de son corps, en écartant le plus possible son visage de celui de sa groupie et de son haleine fétide.

[...] : - Notre prince nous revient dans notre royaume ! Tu m'as tellement manqué !
Goï : - Trishaï ... Puisque j'te dis qu'il n'y aura jamais rien entre nous...Tu es une prostituée depuis que j'ai 16 ans !
Trishaï : - Ne mélange pas mes affaires avec l'amour !
Goï : - Tu tremble... Encore de la drogue ?
Trishaï, culpabilisant et les yeux vers le sol  : - Des Abyssales ont vendu plusieurs kilos de slyce dans tout Sahaal, mais c'est pas dangereux hein !
Goï, en la repoussant assez fort : - Tu parles !
[...] : - Tiens ! Tiens !

Je connais cette voix roque entre mille.

La voix provenait d'un gros cockpit de vaisseaux aménagé en salon de tatouage, seul un rideau fermait l'entrée. Goï y pénétra et constate qu'un immense Tharnéen était allongé sur un siège, une Nautolan entièrement tatouée, aux formes généreuses, habillée de haillons, était en califourchon sur lui entrain de tatouer sur son torse musclé. L'homme de Kronos étant déjà tatoué intégralement jusqu'au visage. La tatoueuse surprise de voir Goï interrompit son activité un bref instant.

[...] : - Heureuse de te revoir, et en vie.
Goï : - Pareil, Liah. Tiens, tiens... Krathy chérie. Alors c'est quoi cette fois comme tatouage, ta nouvelle copine?
Krath : - Tu empeste Jekalia a des kilomètres.
Goï en reniflant ses aisselles : - Bizarre, j'étais persuadé que j'sentais le Ferr.
Krath : - Et cet armure? Elle sert à quoi? Briller de mille feux?
Goï se caressant les tentacules : - Ca fais ressortir mes yeux !

Krath mit une tape sur le fessier de Liah, l'interrompant de rire aux dernière blagues du Nautolan et se leva aussitôt pour ranger son matériel. La montagne de muscle Tharnéenne se leva à son tour pour se mettre à trente centimètre de Goï, les yeux dans les yeux, mais le dépassant de plusieurs têtes.

Krath : - Tout le monde te connais ici Goï, quand tu pars seul, c'est toujours pour une bonne raison. T'as eu ce que tu voulais?
Goï : - Non mon gros, c'est pour ça que je repars.
Krath : - Pourquoi revenir ?
Goï : - Récupérer des affaires, me reposer, et mine de rien ce trou à Gorluc m'avait manqué.
Krath : - Passe à la Tentaverne ce soir, tu me raconteras plus en détails.
Goï : - On verra Gros Tas, on verra.

Les deux individus se regardèrent avec sympathie pendant quelques secondes, puis font instinctivement une accolade d'épaule à épaule pour se dire au revoir. Le Nautolan reprit ensuite sa route.

Même si les rues sont bondées de monde, soit des dépravés, des vendeurs, ou des acheteurs, reconnaître le chemin de la maison est tout ce qui a plus de facile, mon corps bouge automatiquement dans la bonne direction. La seule chose qui ne m'a pas manqué, c'est bien de faire attention à mon paquetage qu'il ne finisse pas vide et que son contenu soit vendu en moins de 10 minutes. Les gens ne sont pas forcément heureux, mais ils ne sont pas triste pour autant, ils sont chez eux, et ça leurs suffit.

Goï après avoir prit un tournant s'arrêta devant un hangar, assemblé par des morceaux de taules de différentes couleurs. La porte était également en métal, une serrure indiquait qu'il fallait une clé pour l'ouvrir. Le Hangar était plutôt grand, propre et bien entretenus. Goï lâcha son paquetage devant l'entrée, le sourire au lèvres et les mains sur la taille.

Goï : - On y est.
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Message par Goï Ran Mer 23 Aoû - 20:32

J'ai du rester immobile peut-être... 20 secondes, devant ma porte. Ma clé, à la main...Tremblante. J'avais juste l'impression de rentrer d'une journée de boulot tout à fait normal alors qu'en vérité, j'ai juste vécu un enfer durant des mois. Au yeux de n'importe qui mon hangar pourrai être considéré comme un vulgaire trou à Tlitli. Et pourtant j'avais l'impression de rêver. Que c'était trop beau pour être vrai. Et pourtant en tournant la clé dans cette serrure, en ressentant une grosse résistance mécanique dans celle-ci *d'ailleurs note à moi-même faut que je change la serrure* c'est là que j'ai compris. Une page se tourne...

Goï : - ... On rentre à la maison.

Goï entre avec fracas et instinctivement jette son sac sur une chaise vide sur sa droite qui tomba sous le poids du paquetage. Le Nautolan n'en tient pas compte et tire sur trois leviers se trouvant sur un compteur électrique. Une musique se lança et peu à peu les néons du plafond dévoilaient petit bout par petit bout la demeure du Natif. Certains ne fonctionnaient pas, d'autre si, et quelques uns clignotaient seulement. Goï se trouvait au milieu de la pièce, le sourire jusqu'aux tentacules.

Goï : - PAPA EST DE RETOUR !...Bon, 'pas que je sois à Brontonos sur mon hygiène mais la je pue la merde. Ranger le hangar sera pour une autre fois.

Ma salle de bain se résume à une bassine trop petite pour moi dans le coin gauche de ma piaule. Le placard étant trop loin pour moi je retire mes vêtements et les laissent par terre avant de mettre une eau plus propre dans la bassine. L'eau était juste tiède, suffisamment pour y entrer sans difficultés. Mes jambes dépassaient, ma nuque sur le bord du récipient, je sentais l'eau me câliner comme une maman, une maman silencieuse toutefois. C'est la que l'après coup du voyage me tombe sur le crâne comme une stripteaseuse Aliwa qui aurai trébuchée sur ma tête. N'imaginez pas le tableau, c'est pas beau à voir. Mes paupières étaient lourdes, le temps défilait au ralenti, le calme ... omniprésent. Mes yeux se ferment et mon esprit se plongea dans le néan. Et puis ... et puis ... et puis...

" ...Ce jour là, je te sourirai...

...Et il en faudra bien plus pour me faire abandonner ! Allez, attrape ma main...

...Si un jour tu as besoin d'un "coup de patte" et bien sache qu'un "ancêtre" se trouvera pas loin pour écraser la chose qui barrera ton chemin..."

ZAFER ! NOOON !

Goï : - AAAAAAAAAAAAAAHHHH  !!!

Goï se trouvait debout dans la bassine, tout ses muscles contractés, haletant. Le regard tétanisé en direction de ses mains tremblantes.

Putain. Ces idiots me manquent. Zafer... pourquoi t'es parti comme ça... enfoiré.
En jettant un oeil sur l'heure j'ai compris que je marinais dans ce sceau depuis quelque heures jusqu'au couché du soleil. Quoi de mieux qu'un rancard avec mon Krathou d'amour pour zapper tout ça.
La Tentaverne, vite.
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Message par Goï Ran Mer 23 Aoû - 21:58

La température avait chuté depuis, ce qui fait que j'ai du prendre un pull à manche longue, un treillis épais et de vieux bottes en cuir de Drémaïde pour les longues marches à Sahaal. La Tentaverne, l'enseigne était brisé en deux, la moitié tenant encore en l'air avec des impacts de balles. La musique raisonnait à l'intérieur, du bon Gulongo, de la musique commerciale Nautolan ou les basses sont poussées aux maximum avec une rythmique très chaleureuse. Les textes sont la plupart très érotiques, et les danses très osées, souvent les partenaires sont collés l'un à l'autre. Et ça y loupe pas quand je fini par y entrer. Je commençais à suer à vitesse grand V, des odeurs fortes de toute civilisations, des serveuses en petite tenues... Et de l'alcool et de la drogue de partout. La piste de danse qu'on appelle "la fournaise", était rempli de mâle et de femelle se frottant les uns aux autres au rythme des ampli qui vibraient dans la salle. Chercher Krath était très facile, comme chercher la seule Tour dépassant tout les bâtiments. Cette Tour de 3 mètres se trouvait au comptoir, pour mon plus grand bonheur.

Goï se faufila à travers la foule jusqu'à arrivé au comptoir, le barman étant une femelle Nautolan le reconnu aussitôt et se pencha avec une choppe à la main, laissant percevoir un gros décolleté plongeant. Le Nautolan s'installe sur un tabouret entre un Galéen complètement ivre, et Krath regardant la piste de danse avec un verre de deux litres d'un liquide rougeâtre.

Galéen : - On s'est pas d'ja vu toi?
Goï : - J'sais pas. T'es vivant?
Galéen : - Euh ouais?
Goï : Alors c'est qu'on s'est jamais vu.
Barman : - Laisse le, c'est la dixième fois qu'il pense reconnaître quelqu'un. C'est cool de te revoir Goï. Comme d'habitude alors?
Goï : - Ouais ma jolie Mouna, comme d'habitude.
Mouna : - Un spécial Baïwan avec une feuille de Mentoris alors, j't'amène ça.
Krath : - Alors le comique? Ca va pas ? Je sais pas ... Tu as l'air tout vert !
Goï : - Ha...ha. T'es à fond là ?
Krath : - Sérieusement. Je te sens absent depuis que tu est rentré.
Goï : - J'ai peut-être pas assez bu. Mouna?
Mouna : - Et voilà ! Fais gaffe il est bien dosé.
Goï : - Merci poupée. J'en sais rien, le fuseau horaire sans doute.
Krath : - Ouais, sans doute.

Les deux individus trinquèrent instinctivement avant de boire leurs verres d'une traite. Les deux choppes arrivèrent en même temps sur le bar, les récipients raisonnaient sous le choc.

Krath : - La même chose, je paye ma tournée.
Galéen : - Ouais !
Goï : - Il parlait pas de toi, bouseux.
Krath : - Bon raconte nous.
Goï : - Je te raconterai quand j'en aurai fini avec tout ça.
Krath : - Encore Lui hein...
Goï : - Ouais, je sais qu'il court toujours.
Krath : - Fait attention à toi alors. T'es à peu près le seul gars qui tient la route dans ce trou.
Mouna : - Ouais ! Faut pas exagérer non plus !

C'est dans un rire commun que le Nautolan quitta l'établissement afin de retourner dans son hangar. Mais pas par la porte d'entrée. Derrière ce grand local se trouvait une immense porte coulissante qu'il poussa jusqu'à ce que l'entrée soit entièrement ouverte. Il tira encore sur des leviers qui dévoila la pièce comme un énorme garage avec un objet de plusieurs dizaine de mètres couvert d'une énorme bâche. Le Natif s'asseya en tailleur devant cette montagne de métal puis pris une grande bouffée d'air.

Goï : - J'ai encore quelques jours pour te faire toute belle pour le grand voyage...

...Anesidoria.
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Message par Neuf Pixels Jeu 24 Aoû - 1:38

"Le lendemain..."



Me voilà coincé dans ce bus, que dis je ce CARGO PUANT, a peine fini de mes affaires me voilà à la recherche d'une tête de poulpe en plein milieux d'un désert !
Pour seul désodorisant, la fumé de ma cigarette qui me rentrait dans le nez. Quand un vieux Nautolan (que je soupçonne de ne pas avoir toute ça tête) me fait une demande d'une petite voix.

Le vieux Nautolan ; « Tu aurais pas une cigarette mon brave monsieur ? »

Neuf ; « Non mais j'ai du savon ! »


Quelque heures plus tard me voilà enfin délivré de cette boite de ravitaillement, seul au milieu de ce désert hardant !
Je fis le tour de moi même et n'aperçus que du sable ainsi que des caillons. Je pris le choix le plus intelligent qu'il me paraissait.
« Pique et pique et colibrax. C'est cette direction que je choisi ! »

Revenir, pour repartir.  Images10



Me voilà airant et rêvassant la tête lever au ciel me disant qu'il fait bien meilleur dans l'espace, mais au bout d'un instant je m'arrêta comme ci j'avais sentie la présence d'une personne. Je regard devant moi pour découvrir une grande bestiole qui me regardait droit dans les yeux. Après une seconde de réflexion, elle poussa un hurlement qui dévoila la grandeur de sa gueule ainsi que ses multiples dents acérés.

Revenir, pour repartir.  Sans_t10


Je pris mes jambes à mon coups et me planquas derrière le premier roché que j'aperçus pour déguenillé. Au moment où j'allais sortir pour engagé le feu, j'entendis un moteur rugir suivit de coups de feu ! Je suis resté à l’abri jusqu'à que le moteur du véhicule soit coupé, une fois fait je sortie la tête pour observé la situation.
Un homme descendu de son véhicule (qui n'avait pas fait attention a moi) et approcha de la dépouille du Gorluc qui venait d'achevé. Il sortie un couteau pour découpé et récupéré ses victuailles.
Pendant se temps je m'approcha de la moto et me l'appropria le laissant là pommé au milieu de nulle part.
Et me voilà à nouveau sur la route mais avec un vent agréable offert par la vitesse de mon nouveau véhicule.

Revenir, pour repartir.  6c828c10


Après une bonne heure de route, j'aperçus un camp ressemblant à une déchargé, tenue par des tours où se trouvaient les sentinelles lourdement armées.
Dès que je vis l'entrée, je mis approcha et me retrouve face aux gardes de la porte.

Un des gardes ; « Stop tu crois allé où comme ça ? »

Neuf ; « Voir ta moman, elle fais les turlutes à 50% aujourd'hui ! »

Le garde en braquant son flingue ; « Tu veux mourir gamin ? »

Neuf avec le sourire et dégoupillant une grenade ; « Oh !!! tu te prend pour un tueur ? Si c'est le cas tu doit pas avoir peur de mourir ?! »

Le garde ; « Arrête de joué au con ! Remet cet goupille ! C'est bon ! »

Neuf rentra dans le camps, la délinquance était la carte de visite de cette cité et le portrait de chaque habitant doit être, au commissariat, sur un avis de recherche.

Neuf ; « Ah comme à la maison lors de mon adolescence ! »


Lors de sa petite traversé de la ville, Neuf ne put s'empêcher d’attiré des problèmes en mettant sa main au cul d'une jolie Drell qui par mégarde était la copine d'un petit chef de bande. La tension ce fut vite tendue !

CLIC, CLAC, SCHLAC, CLIC CLIC, SCRATCH, CLAC CLAC, CLAC, CLIC

Neuf (une main levée et les doigts écartés entre le majeur et l’annulaire ainsi que le pouce écarté du reste de la main.) ;

« Je viens en paix ! »
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Message par Goï Ran Jeu 31 Aoû - 23:09

[...] - Maïa Jariper est enfin arrivée sur la Capitale, des millers de Fan se bousculent afin d'avoir une photo ou bien un dédicasse de la chanteuse, n'oublions pas qu'elle a fait plus d'un milliard de vente sur son dernier album "Deno maï Guinae", un nombre qu'il l'a met en tête des plus gros chiffre de l'univers, vous la retrouverai ce soir dans l'amphithéâtre de Leech Valah pour une interview exclusive de sa dernière tournée !
- Tout à fait Aexia ! Parlons d'ailleurs de Glee Anselm et de ses derniers événements, malgré que la guerre soit terminée Paramon a tout de même bien laissé sa trace, plusieurs groupes Nautolans de certaines tribus se soudent afin de reconstruire les habitations qui ont été malheureusement touchées, la criminalité ayant chuté de 7%, c'est tout un peuple qui s'allie et qui souhaite que Glee Anselm ai un nouveau visage plus pacifique et plus solidaire que dans le temps. Némora, notre journaliste sur le terrain se trouvant à Liris, dans la ville de Mimatan plus exactement, sur les lieux d'une manifestation de Nautolan protestant un "ras le bol" sur la gestion des autorités et du manque d'investissement du gouvernement sur les reconstructions de la ville.
- Oui bonjour Barry, effectivement cela fais déjà plusieurs jours qu'ils sont là, toujours ensemble, les autorités en ligne devant les manifestants prêt à tirer on espère que tout se... [...]

Goï : - Allez ma belle, laisse toi allez, c'est juste un Alternateur...



Goï : - Eh merde ! *coup de pied dans la carlingue*  Aïe Putain ! Chiotte ! Merde ! Jus de tentacule ! Bon ok t'as gagné !

[...] ... Merci beaucoup Némora ! Ah...On me dit à l'oreillette que d'autre personnes touchés de l'épidemie "Osiris" sont décédés ce matin, tout les chercheurs de la planète puisent leurs ressource afin de trouver un quelconque vaccin, c'est une véritable tragédie pour - [...] *CLIC*

Après avoir éteint son poste radio, Goï quitte sa demeure pour replonger dans la foule du camp. La chaleur et le soleil frappaient à nouveau dans le désert, la circulation était tellement dense que Goï bousculait des personnes sans même s'en rendre compte. Certains le regardait de travers, d'autres marchaient plus vite afin de lui échapper.

D'accord, va falloir allez chez Mudroun, il doit être revenu avec son cortège de récupération de pièces. Avec un peu de chance je pourrai trouver un alter-

CLIC, CLAC, SCHLAC, CLIC CLIC, SCRATCH, CLAC CLAC, CLAC, CLIC

Qu'est-ce qui se passe ...? Pff Une fusillade de plus sans doute. Bon faut absolument que je-

- Je viens en paix !

Goï : - Non mais je rêve... Je connais qu'un crétin pour dire une telle connerie.

Goï s'approcha d'un grand cercle de personne armé jusqu'aux dents pointant leurs fusils au centre, deux d'entre eux le remarqua puis s'écartèrent aussitôt laissant Goï, surpris de voir l'humain ici mais surtout très en colère.

Goï : - ...Neuf putain de Pixels.
Bandit Nautolan : - Tu le connais ?
Goï, hésitant : - ... Ouais. Je connais ces 70 kilos de trou du cul d'humain.
Neuf : - Salut ma poulpe !

Sur ce sourire bien niais, c'est un silence glacial qui se répandit tout autour de lui. Puis c'est le fou rire général, suivis de moqueries en direction de Goï tandis que les mercenaires baissèrent leurs armes. Krath, sortit de nul part avant de lui mettre une claque sur l'épaule de Goï qui fusillait du regard son partenaire humain.

Krath : - Il y a pas à dire, tu es le Nautolan le plus drôle de la planète !
Goï : - Je t'emmerde Krath. Retourne te faire tatouer des animaux mignons sur les fesses... Et toi, suis moi...Et range moi ce sourire avant que je le fasse moi-même !
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Message par Neuf Pixels Jeu 14 Sep - 23:57


Les deux compères quittèrent la foule, l'humain suivant le Nautolan, pour se diriger devant un grand hangar.

Goï s'approcha de la serrure, bien petite pour la grandeur de ces portes immenses et aux allures blindé. Le Nautolan tourna la tête vers Neuf avec un regard menaçant avant d'actionner le système de la serrure.

Goï : - Si tu tiens à garder ta virilité intact, ne touche à rien.

Les deux portes imposantes s’écartèrent l'une de l'autre pour nous faire découvrir ce qui se cache derrière. On apercevait à peine la pièce sombre qui ce découvrait à nous. Neuf s'y avança après que Goï ce soit engloutie dans le noir. Neuf n'alla pas loin, ne sachant où mettre les pieds.
Deux gros CLACK comme si l'on avait activé de gros leviers, avant que la lumière ne fasse son apparition partiellement. Puis Goï fit son apparition d'un coin de la pièce.


Goï : - Suis moi, fais pas attention au bordel.

Neuf (tous en fixant Goï) : - Tiens ? Cette odeur m'est familière !

Goï, se reniflant : - L'odeur de la victoire, tu  peux pas comprendre.

Neuf découvre la pièce du regard et tous comme son nez lui avait fais paraître, le lieu était à l'effigie de la ville ; Salle, bordélique et de fortune. Au fond de la pièce un hamac peu confortable où se trouvait à quelque mètre d'une bassine rouillé (que je m'y refuse d'approché, sous cause de maladie). Un bureau  à droite qui contenais plus de fournitures (ainsi que d’objets qui ne devrait pas être là) que ce qu'il pouvait en contenir. Le sol était même plus visible dût à la crasse, les tâches d'huiles et d'alcools, sans compter les outils éparpillés. Je ne pourrais en dire plus de la pièce, si ce n'est l'éclairage, dont la moitié des néons ne fonctionnaient plus...
Le Nautolan se tenu devant une grande porte métallique coulissante qui ornait le fond du mur. Goï de tous la force de ses bras la coulissa et dans un cri hardant de rouille, je découvrais une salle si grande qu'une grande maison pouvait y tenir. Le peu de lumière laissait toute fois découvrir une grande bâche surplombant quelque chose d'immense prenant quasiment la totalité de cette superficie.
La curiosité atteignit l'humain ! Goï se dirigea là où la bâche était sur élevé, sur un petit bout du coté laissant dévoilé l’immense projet de ce dernier. Neuf, ne réalisant pas ce qui se passe, regarda son frère d'arme d'un air surpris, mais aussi hésitant.


Neuf : - Goï, pour avant … je … euh... disons que … ! Et si je t'améliorais les circuits et les programmes de ton bijou pour … euh ... en échange ?

Goï ; Bouge ton cul tout rose et fait gaffe au connectiques, Orgoloth devait même pas être pubère quand ces files existaient. Il nous reste trois jours, alors au boulot .

Les deux hommes se retrouvèrent devant ce magnifique décor à fignoler, éclairé de deux spots derrière eux dans ce hangar sombre.
Neuf armé d'une mallette tenu pardessus l'épaule,  Goï de sa grosse caisse à outils.


Neuf : - Alors, on y va ?

Goï : - Ouais, on y va.



Record music with Vocaroo >>
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